Welcome sur Gobal-Village-Movies ...

Welcome sur Gobal-Village-Movies ... World movies, films du monde.

"Talkies" uniquement.
Pour les films muets aller sur Films Muets - Silent Movies

Pages

vendredi 20 mai 2011

Scott of the Antarctic - Charles Frend - 1948



John Mills ...
Captain R.F. Scott R.N.
Diana Churchill ...
Kathleen Scott
Harold Warrender ...
Dr. E.A. Wilson
Anne Firth ...
Oriana Wilson
Derek Bond ...
Captain L.E.G. Oates
Reginald Beckwith ...
Lt. H.R. Bowers R.I.M.
James Robertson Justice ...
P.O.'Taff' Evans R.N.
Kenneth More ...
Lt. E.G.R. 'Teddy' Evans R.N.
Norman Williams ...
Chief Stoker W. Lashly R.N.
John Gregson ...
P.O. T. Crean R.N.
James McKechnie ...
Surgeon Lt. E.L. Atkinson R.N.
Barry Letts ...
Apsley Cherry-Gerrard
Dennis Vance ...
Charles S. Wright
Larry Burns ...
P.O. P. Keohane R.N.
Edward Lisak ...
Dimitri

111 minutes

En 1910-1911, c'est l'histoire de l'explorateur Robert Scott et de son expédition au Pôle Sud après un premier échec quelques années auparavant. Après avoir collecté les fonds nécessaires, Scott s'entoure d'hommes susceptibles de réussir la mission d'atteindre le pôle Sud. Or il s'avère qu'un certain Amundsen tente le même pari ...



Un film rafraichissant et surtout intéressant pour les moyens mis en oeuvres et reconstitués de l'époque. Pour mettre toutes les chances de son côté Scott emmène des chevaux, des chiens et des chenillettes pour tirer les paquetages. Toute l'organisation est très bien décrite, ainsi que les différentes étapes planifiées pour atteindre le pôle. Les difficultés sont évidentes, et surtout ce film démontre les qualités et le courage de ces hommes. Jusqu'à la fin on les entend penser à telle point qu'on finit par presque avoir l'impression de les connaître ... Mais quelle déception, quand même à leur arrivée au Pôle Sud de découvrir qu'Amundsen et son équipe les dévancent d'un mois !

Tourné partiellement en Suisse à la Jungfrau et en Norvège (d'après IMDB) mais en Finlande d'après les mémoires de John Mills, il me semble.



Derek Bond

Reginald Beckwith




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire